31 mars, 2009

28 mars, 2009

Non, en fait 60 minutes c'est pas assez ! Faut l'éteindre complètement!

25 mars, 2009


Haaa, Le Pen, on dirait que le seul neurone qui lui reste est bloqué sur la fonction "provocation"!

22 mars, 2009



Bah oui, après la manif', ils ont bien été manger quelque part, ces manifestants! Ce jour-là, les restaurateurs et autres vendeurs de casses-dalles ont dû s'en foutre plein des fouilles.

17 mars, 2009


Le préservatif ne serait pas une solution pour lutter contre le SIDA, on dirait qu'il veut secrètement que les africains disparaissent les uns après les autres!

15 mars, 2009



On aurait préféré que ce soit Boutin qui casse sa pipe, et pas Bashung.

10 mars, 2009


La mère d’une fillette de neuf ans a découvert la semaine dernière, en l’accompagnant à l’hôpital pour des douleurs au ventre, qu’elle était enceinte de jumeaux depuis quatre mois. Son beau-père de 23 ans abusait d’elle depuis deux ans, ainsi que de sa sœur aînée handicapée de 14 ans. Avouant les faits, ce dernier a été emprisonné. L’affaire a vite dépassé les frontières de la petite région d’Alagoinha, dans l’état du Pernambuc et a choqué tout le Brésil. Mais c’est l’avortement de cette petite fille qui a déclenché une véritable polémique. La loi Brésilienne interdit l’interruption volontaire de grossesse sauf en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère. «Nous avons agi légalement», explique l’un des médecins «la patiente (qui pèse à peine 33 kilos et mesure 1m35) a été violée et sa vie était en danger. En tant que docteur, je n’avais pas le droit de lui faire courir le risque de perdre sa vie.» Fátima Maia, responsable de l’hopital ajoute: «Cette enfant n’était pas du tout en condition de mener cette grossesse à terme, elle en serait restée stérile ou n’aurait pas survécu.» Il n'empêche, Mgr José Cardoso Sobrinho, archevêque de Recife (nord-est du Brésil) a décidé d’excommunier la mère et l’équipe médicale qui a pratiqué l’avortement. Quant au beau-père, «certes, ce qu’il a fait est horrible, mais il y a tant de péchés graves, et le plus grave est l’élimination de deux vies innocentes.»
Vive les religions.